Jamais vous ne connaitrez mon nom, mais voici mon histoire.

J’avais 10 ans, des parents pauvres mais amoureux. 
Pour m’offrir un avenir meilleur, mon père a profité d’un tuyau infaillible, un canasson côté à du 25/1, il dû répartir les emprunts chez 2 prêteurs clandestins.

La pauvre bête gagna sa course, mais gavé de produits dopant, le cheval s’écroula juste après la ligne d’arrivée. Furieux de s’être fait avoir et surtout pour montrer l’exemple, les 2 usuriers assassinèrent mes parents et engagèrent un tueur pour se débarrasser de moi. L’assassin, pris de remords ou de pitié m’épargna et s’occupa de mon éducation.

12 ans plus tard, après une vie austère il était temps pour moi de me venger. Mais comment approcher ceux qui sont devenu les maitres de cette ville ? Profiter de leurs cupidités, se servir d’un pauvre type qui leur doit assez d’argent pour être a leurs merci. Echafauder un plan avec mon mentor aussi efficace que retors. Tuer le fils de l’un pour être obliger de tuer le fils de l’autre. Les approcher et les laisser mourir étouffer la tête dans un sac. Abattre d’une balle dans la tête le flic corrompu qui cribla de plomb ma mère.

Mon histoire aurait pu s’arrêter là.

La mission de mon prof s’est arrêtée. il est repartit comme il était arrivé, sans faire de bruits, sans laisser de trace.

Sans argent, sans attaches, sans but, j’ai commencé à braquer les stations essences, les night-shop et les petits dealers. L’appétit vient en mangeant, j’ai visé plus haut. J’ai cambriolé des banques, visiter des villas. Il m’en fallait toujours plus.

Trop connus sur Liberty , j’ai bougé à Los Santos. Le soleil, la plage et les filles, que demander de plus ? Seulement pour ça il faut de la thune, j’ai donc recommencé les braquos, jusqu’au jour au j’ai failli me faire pincer. Notre chauffeur mal garé s’est fait repérer, l’alarme a retentit a se moment là, je me suis cassé par la porte de derrière. J’allais me faire coller quand un type en van pourri sortit de nulle part et m’aida à me sortir de là.

J’ai commencer à trainer avec lui, un brave gars. il passait la plus grosse partie de son temps à suivre des gars en Harley. J’ai fait comme lui.

Un jour, un des gars, le VP du club en fait, nous a demandé si on allait encore continué à les ralentir quand on les suivait et si on allait se décider à monter sur une bécane. 

J’ai compris qu’on était enfin accepté parmi eux, enfin pas tout a fait, on était juste bon a laver leurs motos, leurs servir des bières et être dérangé au milieu de la nuit pour aller chercher un paquet de clopes.

Ce soir là, je m’en rappelle comme si c’était hier. Il avait fait chaud, et les gars étaient tous saoul. Un type est entré, il a commencé à tirer sur tout ce qui bougeait. Il y a eu  de nombreux blesser, quelques morts, dont mon pote qui a laisser sa vie pour protéger celle du Prez. 

Une déchirure, elle ne se refermera jamais. j’avais perdu mon ami, mon frère.

La vengeance, pour la deuxième fois. Le gars était prospect pour un club rival, pour gagner son patch, il devait faire ses armes. 

Je l’ai retrouvé.

Aujourd’hui je suis Sergent d’Armes.
Aujourd’hui j’ai une famille.
Aujourd’hui je suis un Red Devils.

J’allais oublié, ironie de l’histoire, je gagne ma vie comme bookmaker, tous les paris clandestins de l’état de San Andreas passent par moi …